Résumé:

Il s'agit d'un brouillon, je vous serais très reconnaissant de mailto:bboett@adlp.org m'envoyer des critiques constructives , avec si possible la partie du texte corrigée inclue, pour faire cela téléchargez ce fichier en mode html et appliquez les corrections.

Cette documentation à été faite en convertie avec l'aide de LaTeX2HTML. Donc si le coeur vous en dit, vous pourrez avoir une copie papier.


Table des matières

Telnet

La commande telnet est utilisée pour communiquer avec un autre ordinateur gràce au protocole TELNET (au sein de TCP/IP).

La syntaxe est la suivante

telnet [-d] [-a] [-n fichier] [-e escapechar] [[-l utilisateur] machine_distante [port]]

-a
, essai de login automatique, c'est a dire les variables d'environnement actuel sont passées, si possible, à l'environnement distant. Le nom d'utilisateur notamment.

-l
utilisateur, specifie le nom de l'utilisateur sous lequel on aimerait ouvrir une session sur la machine distante.

machine_distante
, ici il faut inserer le nom, l'alias ou le numéro IP de la machine sur laquelle on veut ouvrir une session.

port
, indique le numéro de port sur lequel on voudrait se connecter. Avant d'utiliser cette option sachez au moins sur quel service vous allez vous brancher.

telnet appelé sans nom de machine distante vous ouvrira l'interpreteur commande de telnet. Ceci vous permettra de contrôler et manipuler votre session telnet. Pour plus d'information lire 'man telnet'

Rlogin/ssh

En somme la même chose que telnet, sauf que ces programmes ont été développés pour les utilisateurs ayant un certain souci de sécurité informatique.

rlogin [-8EKLdx] [-e char] [-k realm] [-l username] host ssh [-l login_name] hostname [command]

rlogin

La sécurisation se fait ici originairement grâce au système ”Kerberos”. Si ce système n'est pas installé ls système ”rhosts” de Berkeley est utilisé. Celui ci consiste dans le fait que dans le compte à connecter existe un fichier .rhosts (en lecture/écriture pour l'utilisateur EXCLUSIVEMENT) dans lequel figure la machine à partir de laquelle on veut se connecter ainsi que le nom d'utilisateur que l'on a sur cette machine. Ainsi la transmission du mot de passe en clair n'est plus nécessitée.

A savoir que tout traffic sur réseau est en clair, et que n'importe qui qui arrive à se connecter dessus peut, en analysant le traffic sur le brin connecté, trouver sans difficulté les mots de passe ainsi que les noms de compte des utilisateurs qui se connectent de manière distante.

Pour pouvoir analyser le traffic de son brin de réseau il faut etre ”root” sur la machine UNIX que l'on utlise (pas aisé d'obtenir frauduleusement) ou disposer d'un PC sous DOS/Windows et des logiciels correspondants. Dans le dernier cas même le pipo de base sans aucune connaissance de réseau n'aura aucune difficulté à pirater votre réseau.

Rsh

Cette commande envoit le flux STDIN vers l'application sur la machine distante et récupère le flux STDOUT sur la machine distante pour l'envoyer sur STDOUT local. Sans nom de commande rsh à la même fonctionalité que rlogin.

rsh [-Kdnx] [-k realm] [-l username] host [command]

Son utilité se montre pour le lancement de jobs sur des machines distantes sans la nécessité d'ouvrir une session sur ces machines.

ssh

Si on n'aime pas les implications de la fin du dernier paragraphe, je conseille d'utiliser un système de type ”ssh” (Secure Shell). Vous trouverez des liens concernant ce paquetage sur ma page internet, gardez en mémoire qu'en France comme en Iraq et en Chine le cryptage est un grave delit contre la constitution. Eh oui, la liberté d'expression range dans ces pays loin derrière la raison d'Etat.

Ceci dit, l'utilisation de ssh est pratiquement identique à rlogin, une fois configuré. Si vous voulez utiliser ssh, vant tout, il vous faut un identificateur à vous que vous obtiendrez en executant ' ssh-keygen', en ce qui concerne le mot de passe que ce programme vous demande, moi je ne mets rien (donc <entrée>), car sinon il faudrait taper ce mot de passe chaque fois que vous voulez utiliser ssh....

Ensuite, le système du .rhosts est un peu différent. ssh-keygen vous aura crée un répertoire  /.ssh, dans ce répertoire vous trouverez les fichiers identity, identity.pub et random_seed. identity est votre clé privée, à cacher de tout le monde (pensez aux droits d'accès!), identity.pub est la clé publique que vous transfèrez (par ftp ou scp) sur la machine ou vous voulez vous logguer sans taper de login, et que vous appendrez au fichier  /.ssh/authorized_keys la bas.

Ainsi vous pourrez vous connecter de manière tout a fait sûre (modulo quelques bugs de sécurité) à toutes les machines sur lesquelles tourne un démon sshd.

secure copy: scp

En bonus avec ssh, vient un utilitaire scp qui permet de copier des fichier d'une machine à l'autre sans devoir faire de ftp ou autre procédure de login (comme rcp).

scp [-qprvBC] [-S path-to-ssh] [-o ssh-options] [-P port] [-c cipher] [-i identity] [[user@]host1:]filename1... [[user@]host2:]filename2

P. ex. scp index.html bboett@erm6: /www (Je transfère index.html de la machine ou je me trouve sur erm6 dans le compte de bboett, assumant qu'en ce moment j'ai une autre userId rendant cette option nécessaire, dans le répertoire /home/bboett/www). La aussi, si ssh est correctement configuré ente ma machine et p.ex. erm6, je n'aurai pas de mot de passe à taper et la copie se fera encryptée sur le réseau.

Mode d'emploi rapide pour l'utilisation d'un serveur cvs

Pour pouvoir assurer la mainteance de projets variés (que ce soit un projet de programmation en langage C, C++, java et autre, ou des structures de fichiers quelquonques comme une arborescence html) par plusieures personnes, de manière fiable et tolérante envers les erreurs le système cvs est devenu une sorte de standard. Rappelons brièvement les problèmes majeurs de l'administration d'un projet: Tous ces problèmes sont addréssés par un système cvs. Ce système garde (dans le cas idéal sur un serveur central) l'état actuel du projet à disposition des multiples usagers, dans ses différentes déclinaisons (on peut récupérer un projet dans l'état à une certaine date ou à une certaine version). Dans le cas ou le serveur cvs se trouve sur une machine autre que les machines de développement, l'on aura une sécurité supplémentaire concernat la perennité des données. Chaque développeur pourra faire avec sa copie locale du projet ce qu'il veut, il n'y a pas de contraintes comme l'imposent d'autres systèmes (ou les développeurs acquièrent un droit exclusif sur les fichiers qu'ils sont en train d'éditer, bloquant de e fait éventuellement les autres développeurs). Une fois que le développeur sera satisfait de son travail il synchronisera sa version avec celle du serveur en suppléant en plus un message, ceci aura pour effet que les fichiers modifiés changeront de numéro de version, et que les autres développeurs pourront facilement récupérer le message, et ainsi ètre informés des changements encourus quand ils synchroniseront à leur tour leurs versions du projet. La synchronisation des projets est faite grâce à l'aide entre autres de mécanismes appelés diff ou patch, qui essayeront de maximiser l'introduction des nouvelles parties de manière automatique. Ceci ne fonctionnera pas toujours, et le système rapportera les localisations non-traitables à l'utilisateur. L'avantage de ce systèmes est qu'en pratique à peu près 90% des modifications sont ainsi insérées automatiquement, de plus les sections à problèmes sont clairement marquées. Les oublis sont impossibles. La base d'un système cvs sont outre la commande cvs l'existence d'un repositoire cvs, une strucure spéciale présente quelquepart dans le système de fichiers de l'ordinateur (un endroit standard est /usr/local/cvsroot). La gestion de ce repositoire est grandement facilitée en utilisant des outils comme tkcvs, qui cachera aux utilisateurs les manipulations qui seront décrites plus bas. Pour faciliter les explications qui suivent nous allons supposer un repositoire cvs (/usr/local/cvsroot) existant sur une machine imaginaire tux.u-strasbg.fr. Dans ce répositoire nous supposons la présence de différents modules, p.ex. un au nom de www contenant l'arborescence complète du serveur web de tux et un autre appelé projets/jmud contenant un projet de programme en java.

Crash-course de cvs:

Il y a plusieurs mécanismes qui permettent de récupérer sur un serveur cvs une arborescence, la première (et c'est celle à préférer) suppose que vous avez droit d'accès à un utilisateur sur le serveur (ce qui signifie pouvoir faire un rsh sur le serveur sans mot de passe) pour cette méthode l'utilisation de ssh(2) est vivement recommandée, la deuxième utilise la méthode login du serveur, qui s'appuie elle aussi sur la présence dans le système d'un utilisateur (par la suite appelé cvs), cette méthode à tous les inconvénients du telnet de base: nom d'utilisateur et mot de passe transitent en clair sur le réseau. Tout d'abord s'assurer que les variables d'environnement soyent bien reglées: echo $CVSROOT doit retourner tux.u-strasbg.fr:/usr/local/cvsroot si c'est pas le cas:

export CVSROOT=tux.u-strasbg.fr:/usr/local/cvsroot
et echo $CVS_RSH doit donner ssh(2), sinon déclarer cette variable comme décrit plus haut. Ensuite: cvs -d cvs@tux.u-strasbg.fr:/usr/local/cvsroot co www pour la première méthode ou cvs -d :pserver:cvs@tux.u-strasbg.fr:/usr/local/cvsroot login (avec le mot de passe convenu) Puis cvs -d :pserver:cvs@tux.u-strasbg.fr:/usr/local/cvsroot co www pour la deuxième méthode. À savoir que les paramètres du style -d :pserver:cvs@tux.u-strasbg.fr:/usr/local/cvsroot sont stoquès (ex. www/CVS/Root) dans l'arborescence qui vient d'ètre crée, donc tant que l'on évoluera dans cette arborescence ces arguments n'auront plus besoin d'ètre répétes. Pour rajouter des fichiers au serveur, vous vous positionnez dans le repertoire dans lequel ils se trouvent, puis cvs add votre_fichier (les wildcards sont permis, et chose importante les répertoires aussi doivent ètre déclarés au préalable), pour enlever, reciproquement cvs delete le_fichier (pour que cette dernière commande soit acceptée, il faut que le fichier en question n'existat déjà plus dans ce répertoire). A savoir que cela stoque seulement votre intention de faire une telle action, vous allez la finaliser ainsi que la sauvegarde de vos changements sur le serveur avec cd racine_de_votre_projet , cvs -m"un commentaire" ci (qui est recursif...). Prière de mettre des commentaires parlants (que l'on peut récupérer par cvs log un_fichier) car pour ceux qui passeront derrière, pour chercher un problème, p.ex. ne seront pas forcément ravis de trouver des coucou et autres messages à la c.. ! Avant de faire un ci (check in) s'assurer que personne n'en a fait avant vous: cvs update >log 2>&1 . Contrôlez le log concernant les erreurs et les lignes commencant avec un C indiquant des conflits qui doivent etre resolus a la main.

Comment filtrer son E-mail automatiquement

Dés que l'on commence serieusement a utiliser l'outil que représente la possiblilté d'envoyer et de recevoir des messages a travers l'internet, on se voit confronté à une quantité souvent impressionnnante de messages.

Si tous ces messages sont envoyes (comme par défaut) dans la même boite d'entrée, l'on passera un certain temps a faire le tri, surtout si l'on n'a pas l'habitude de vider quotidiennement sa boite d'entrée.

Donné le cas que l'on se trouve sous UNIX et que l'on utilise un outil performant tel que l'est pine, il est facile de gérer de multiples boites d'entrée. Ainsi personnellement, je renvois tout messages émanant d'un membre de ma famille dans une boite, ceux de mes connaissances rapprochées dans une autre, chaque liste de discussion à laquelle je suis abbonné à sa propre boite etc...

Ce que j'utilise est d'une part la fonctionalité de pine (voir p. 4.1), d'autre part un programme qui est appelé par défaut par sendmail (l'instance qui recoit et vous délivre vos messages sous Unix) appelé deliver (voir sec. 4.2) qui traite tous les messages que vous envoyez a l'aide d'un fichier $HOME/.deliver (s'il existe).

  
Configuration de pine

Vous avez deux possibilités, celle du débutant qui utilise le menu de pine (tapez m s c puis cherchez le point enable-incoming-folders que vous cocherez, ensuite tapez e puis l et ajoutez avec a autant de boites qu'il vous faut.

Les purs et durs utiliseront vi(m) directement sur le fichier de configuration de pine ( $HOME/.pinerc), chercheront la ligne ou se trouve incoming-folders (très près du début, ceci dit '/' fonctionne a merveille...) et la manipuleront de manière à avoir quelquechose qui ressemble à cela:

incoming-folders="family" {erm1.u-strasbg.fr}mail/boettcher_in,
        "prive" {erm1.u-strasbg.fr}mail/prive_in,
        "admin" {erm1.u-strasbg.fr}mail/admin_in,
        "www" {erm1.u-strasbg.fr}mail/www_in,
        "security" {erm1.u-strasbg.fr}mail/security_in,
        "kernel" {erm1.u-strasbg.fr}mail/linux_in,
        "java" {erm1.u-strasbg.fr}mail/java_in

Le permier truc en étant le pseudo qui apparaitra comme nom de boite dans pine, la chose entre { et } étant la machine sur laquelle se trouvent vos boites (facultatif, ceci dit je lis mes messages sur une autre machine que celle ou ils arrivent...) et enfin le reste étant le chemin jusqu'à la boite elle même.

À noter aussi que la dernière ligne est dépourvue d'une virgule et que les lignes de commentaire dans la liste font office de termination de liste aussi :(

Le fait de faire cela à la main n'est pas totalement gratuit, car ainsi vous pourrez changer l'ordre d'apparition des boites dans le menu, ce qui n'est pas possible avec le menu (ordre dans lequel les boites auront été crées).

  
Utilisation d'un .deliver

A savoir que moi j'utilise comme MTA (mail transfer agent) qmail qui est beaucoup plus sur et fiable que sendmail, plus petit plus rapide et qui fait tout ce que moi je demande a un MTA. Qmail dépose les messages personnels non point dans un répertoire central comme le fait sendmail, mais directement dans un fichier (Mailbox) dans le compte de l'utilisateur. Donc si vous voudrez reprendre mon scripte ci dessous, vous devrez changer la variable BOX en consequence (normalement /usr/spool/mail/bboett p.ex.).

Ceci dit, il n'est pas sûr, que votre MTA utilise deliver pour filtrer les mails par défaut, il peut très bien s'agir de procmail (voir 4.3) comme c'est le cas sur inforezo. Si vous voulez tout de même utiliser deliver il faudra rajouter dans votre répertoire racine un fichier .forward avec le contenu suivant:

| /usr/bin/deliver votre-user-ID

Le fonctionnement de deliver se limite a définir trois varibales d'environnement: HEADER qui renferme l'entête du message, BODY qui contient le texte du message et SENDER qui contient l'envoyeur du message correspondant a la ligne ”From:” dans l'entête du message.

Ensuite deliver 'pipe' (voir utilisation de base d'une shell) le message a travers le scripte $HOME/.deliver et s'il reçcoit comme retour un DROP, il sait que le message à été processé et ne s'en occupe plus.

Sauf que moi je fais pas trop confiance à ces mécanisme donc vous les retrouverez redifinis dans le scripte.

#!/bin/sh
#echo heres deliver
#echo header is:$HEADER

BOX=Mailbox
DESTDIR=mail
MYPATH=/home/bboett/mail/ #mettez ici l'endroit ou vous stoquerez vos messages

# Ici on s'occupe des liste de distribution, ou dans la ligne From-espace se
# trouve le serveur de liste et dans From: l'auteur du message.

SENDER=`cat $HEADER | grep "From " | cut -d' ' -f 2`
case $SENDER in
        *linux-security*)       BOX=security_in;;
        *linux-alert*)          BOX=security_in;;
        *linux-kernel*)         BOX=linux_in;;
        *ssh*)                  BOX=ssh_in;;
        *asr*)                  BOX=security_in;;
        *java*)                 BOX=java_in;;
        *fvwm*)                 BOX=fvwm_in;;
        *pine*)                 BOX=pine_in;;
esac

#et maintenant on les place pour de bon
if [ $BOX != "Mailbox" ]; then
  cat $HEADER $BODY >>$MYPATH$BOX               
  echo DROP        
  exit 0
fi

#et maintenant la famille les copains etc, dont leur nom figure dans From:
SENDER=`cat $HEADER | grep "From:" | cut -d' ' -f 2-4`

case $SENDER in
        *[Bb]oett*)     BOX=boettcher_in;;
        *casset*)       BOX=prive_in;;
        *sept*)         BOX=prive_in;;
        *root*)         BOX=admin_in;;    
        *www*)          BOX=www_in;;
esac

#et la aussi faut concretiser la manip
if [ $BOX != "Mailbox" ]; then
cat $HEADER $BODY >>$MYPATH$BOX                 
echo DROP        
else #ici la partie qui demontre que je n'ai pas trop confiance dans deliver :)
cat $HEADER $BODY >>$MYPATH../$BOX
echo DROP        
fi

  
Utilisation d'un .procmailrc

Si quelqu'un voulait bien écrire quelquechose pour cette séction, cela m'arrangerait....

Enfin voici un exemple de fichier .procmailrc:

:0
* ^To.*vger.rutgers.edu*|^FROM_MAILER.*vger.rutgers.edu*|^FROM_DAEMON.*vger.rutg
ers.edu*
mail/linux_in
:0
* ^To.*axp-list*|^FROM_MAILER.*axp-list*|^FROM_DAEMON.*axp-list*
mail/linuxaxp_in
:0
* ^From.*magali|^From.*tiberi|^From.*MOREL|^From.*GEORGENTHUM|^From.*lanuit|^Fro
m.*sm|^From.*bboett|^From.casset
mail/prive_in

Je ne suis pas très sur de ce que j'avance, mais il semble que le ':0' soit un séparateur, la ligne qui suit donne les expressions régulières pour cette sélection, donc en décortiquant p.ex. la ligne avec vger.rutgers.edu, cela donne en français:

cherche dans l'entête du mail la ligne commencant par 'to:', si la dedans l'on trouve quelquepart la chaine vger.rutgers.edu, ou bien si l'on trouve dans la ligne débutant par FROM_MAILER la même chaine ou si l'on trouve dans la ligne commencant par FROM_DAEMON toujours cette même chaine de caractères, dans ce cas le mail est redirigé dans la boite qui est spécifiée dans la ligne en dessous, donc /home/l-utilisateur/mail/linux_in.

Ftp en prennant ”ncftp”

”ncftp” est un interface (comfortable) utilisateur pour le standard internet FTP (File Transfer Protocole). Ce programme permet de transférer des fichiers entre machines distantes et offre plein de fonctionalitées dont on rève dans le ftp standard.

ncftp [program options] [[open options] host-name[:pathname]]

Lire les news en utilisant trn

Trn comme beaucoup d'utilitairs unix, à une apparence prime assez rébarbative, mais une fois que l'on a pris l'habitude de l'utiliser, on ne peut plus s'en passer.

Pour le configurer correctement lancez trn une première fois, pour que les répertoires de configuration soyent crées, ensuite, quittez immédiatement, et reportez vous dans ce nouveau repertoire .trn, dans celui créez un fichier access (avec vim p. ex.) dans lequel vous ferez des entrées selon l'exemple qui suit:

[erm6]
NNTP Server = erm6.u-strasbg.fr
Overview Dir = none

[mygale]
NNTP Server = news.mygale.org
Overview Dir = none

[ciril]
NNTP Server = news.ciril.fr
Overview Dir = none

[Group 1]
ID = erm6
Newsrc = ~/.newsrc-erm6.u-strasbg.fr
Add Groups = yes

[Group 2]
ID = ciril
Newsrc = ~/.newsrc-news.ciril.fr
Add Groups = yes

[Group 3]
ID = mygale
Newsrc = ~/.newsrc-news.mygale.org
Add Groups = yes

Une fois ce fichier crée, vous aurez accès aux serveurs de news sur erm6, mygale et ciril (les plus importants a mon avis dans ces parages).

En relancant trn vous tomberez sur le premier serveur (erm6) (il y a une possiblité de configurer trn pour qu'en le lancant l'on accède à un menu des serveurs, mais je ne me rappelle plus comment l'on fait). Pour changer de serveur vous tapez <ctrl>N (comme next) pour le prochain ou <ctrl>P (comme previous) pour le serveur précédent.

Une fois que vous avez accédé À un serveur qui vous plait, vous voudrez vous abboner aux groupes qui vous intéressent.

Si vous ne connaissez pas le nom exact du groupe, faites une recherche par mot clé: tapez '
a mot-clé'. Si par contre vous connaissez le nom exact du groupe, tapez '
g nom-du-groupe-exact'.

Vous suivrez les indications, et si vous n'ètes pas surs de vos actions continuez a taper la barre d'espace (ce qui valide les choix par défaut).

L'aide interactive est appelée par 'h'.

Une fois un groupe de discussion sélectionné (en tapant la lettre du groupe suivi par <entree>) vous accéderez à la liste des articles, laaussi vous sélectionnerez les articles qui vous intéressent en tapant les lettres qui précedent les discussions, si le nombre de discussion excède l capacité de votre écran, vous pourrez avancer dans la liste avec '>' ou revenir en arrière avec '<'.

Une fois votre sélection faite, le plus simple est de taper <shift>X, ceci marque tous les articles non-sélectionnés comme lus (donc ils disparaitront de la liste des discussion sélectables) et démmarrera la lecture des articles sélectionnés. Vousnoterez des drôles d'images en haut a droite des la fenêtre de lecture, enfait c'est une représentation ascii de la structure de la discussion, en fait vous pourrez naviguer avec les flèches dans cette discussion, l'arre vous montrant à tout moment quel niveau vous vous trouvez.

Si vous ètes perdus, ou que vous vous rendez compte qu'en fait la discussion actuelle ne vous intéresse pas, revenez au sélecteur en tapant '+'. Au contraire si un article vous intéresse et que vous ne voulez pas qu'il disparaisse du sélecteur tapez 'm', 's' pour sauvegarder, 'r' ou 'R' si vous voulez répondre par mail à l'auteur sans inclure l'article ou en incluant l'article et finalement 'f' ou 'F' si vous voulez que votre réponse soit ajoutée à la discussiondans ce forum sans inclusion de l'article ou avec inclusion.

Si vous voulez poster un article sans sélectionner d'article au préalable tapez ':p' quand vous ètes dans le groupe de discussion (fonctionne aussi quand le groupe est actuellement vide).

L'aide interactive et les pages de man et info vous donneront le complément d'infos dont vousauriez encore besoin après ceci.

Archie

Programme permettant la recherche dans les bases de données de serveurs ftp anonymes grace à prospero.

      archie [ -cers ] [ -a ] [ -l ] [ -t ] [ -m hits ]
             [ -N [ level ] ] [ -h hostname ] [ -o filename ]
             [ -L ] [ -V ] [ -v ] string

           % archie string

      This will go to the archie server and ask it to look for all known
      systems that have a file named `string' in their FTP area.  archie
      will wait, and print out any matches.

      For example,

           % archie emacs

      will find all anonymous FTP sites in the archie database that have
      files named emacs somewhere in their FTP area.  (This particular query
      would probably return a lot of directories.)

      Regular expressions, such as

           % archie -r '[xX][lL]isp'

      may also be used for searches.  (See the manual of a reasonably good
      editor, like GNU Emacs or vi, for more information on using regular
      expressions.)
      -c          Search substrings paying attention to upper & lower case.
      -e          Exact string match.  (This is the default.)
      -r          Search using a regular expression.
      -s          Search substrings ignoring the case of the letters.




                                    - 1 -       Formatted:  February 7, 1996






 ARCHIE(1)                    Archie (Prospero)
ARCHIE(1) 26 October 1992



      -o filename  If specified, place the results of the search in filename.
      -a          Output results as Alex filenames.
      -l          Output results in a form suitable for parsing by programs.
      -t          Sort the results inverted by date.
      -mhits      Specifies the maximum number of hits (matches) to return
                  (default of 95).
      -Nlevel     Sets the niceness of a query; by default, it's set to 0.
                  Without an argument, “-N” defaults to 35765.  If you use
                  -N with an argument between 0 and 35765, it'll adjust
                  itself accordingly.  (Note: VMS users will have to put
                  quotes around this argument, and -L, like ”-N45”; VMS will
                  otherwise convert it to lowercase.)
      -h hostname Tells the client to query the Archie server hostname.
      -L          Lists the Archie servers known to the program when it was
                  compiled, as well as the name of the default Archie
                  server.  For an up-to-date list, write to
                  “archie@archie.mcgill.ca” (or any Archie server) with
                  the single command of servers.
      -V          With the verbose option, archie will make some comments
                  along the way if a search is going to take some time, to
                  pacify the user.

Utilisez plustot xarchie, c'est un interface grafique pour archie, avec lequel on n'a plus besoin de s'embrouiller avec les commandes archie. En plus on peut directement récupérer les fichiers trouvés. Une autre alternative sont les moteurs de recherche par ftp comme FAST FTP Search

Conclusion

Si vous avez des suggestions sur d'autres programmes à prendre dans ce texte ou des modifications de celui-ci n'hésitez pas Si vous avez des problèmes ou des suggestions à faire concernant ce texte n'hésitez pas à me le dire.

À propos de ce document...

This document was generated using the LaTeX2HTML translator Version 98.2 beta8 (September 9th, 1998)

Copyright © 1993, 1994, 1995, 1996, Nikos Drakos, Computer Based Learning Unit, University of Leeds.
Copyright © 1997, 1998, Ross Moore, Mathematics Department, Macquarie University, Sydney.

The command line arguments were:
latex2html Utilitaires

The translation was initiated by Bruno Boettcher on 1999-05-07


Bruno Boettcher
1999-05-07